Syria Naeltigar ~ The call of the light

Décrire Syria, c'est décrire une personnalité complexe et réservée.

En effet, avant tout, Syria est quelqu'un de discret, elle n'aime pas étaler sa vie sur tout le monde et n'aime pas non plus qu'on lui dise quoi faire. Elle est facilement manipulée, à la manière d'une poupée. Douce et innocente, Syria pense qu'un monde de paix est possible ou du moins, dans son idéal. C'est pourquoi on peut exercer sur elle une grosse influence, qui peut être positive ou négative, elle a tendance à croire un peu trop ce qu'on lui dit et tomber dans le panneau ou le piège, et quand il est trop tard, elle panique et éprouve une certaine sensation de dégoût. Elle n'aime pas sa personnalité naïve et travaille beaucoup pour la faire disparaître. Cela n'a jamais été son fort d'être très sûre d'elle, son manque de confiance la brûle à petit feu bien qu'elle essaie aussi de corriger ce trait de personnalité handicapant pour elle sous l'aide de son frère aîné.

Syria, c'est la jolie jeune fille pleine de vie, de fraîcheur et de créativité. Bien qu'elle adore danser, ses danses inspirent et donnent la joie de vivre au monde qui les regarde. Elle est passionnée par son métier et le fait avec plaisir, sans aucune condition. Elle adore épater en exécutant de nouveaux mouvements, essayant de faire de son mieux pour divertir la galerie. Qui sait, peut-être qu'elle pourrait devenir une courtisane ou une danseuse au Château Royal ou autre, c'est son rêve. Mais comme Syria est consciente que la Royauté ici n'est pas très présente, cela ne reste qu'un vulgaire rêve inatteignable.

La jeune humaine n'aime pas la violence, elle n'aime pas cette guerre politique qui se profile à l'horizon.
Ce n'est pas son truc le combat. Bien que parfois, elle n'a pas le choix d'user de sa magie si durement obtenue grâce à ses entraînements sévères et sportifs. Syria préfère rester à l'écart de tout ça et vit sa vie normalement.

Par contre, la demoiselle s'énerve assez vite, son impulsivité la pousse à commettre des erreurs et dire des choses qu'elle ne pensait pas réellement. Cela n'a jamais été son fort d'être quelqu'un de mauvais et elle ne l'est pas, en général quand elle devient en colère c'est parce que la raison de cette dernière lui tenait à cœur. Lunatique comme le jour et la nuit, Syria ressent plusieurs émotions au jour, tantôt heureuse tantôt déprimée, ce changement d'humeur la rend complètement folle parfois, et la pousse à faire des actions qu'elle n'aurait jamais pensé faire.

En sommes, Syria est une jeune fille torturée par ses multiples émotions et sentiments qui la traversent à chaque fois. C'est une jeune fille douce, aimante, tendre, mais aussi colérique et impulsive, on ne parlera pas de sa possessivité parfois trop poussée accompagnée de sa jalousie. Quand elle tient à une personne elle n'aime pas que cette dernière la trahisse.

La neige recouvrait le sol de son manteau blanc. Immaculé de sa fourrure pâle, le sol recouvrait les herbes fraîches qui avaient disparues du printemps. L'heure de la venue au monde de la petite dernière approchait. Geralt, l'aîné de la fratrie, attendait avec impatience la naissance de cette enfant un soir d'hiver. Lonarosh était enneigée et les habitants avaient réussis à faire des sortes de routes praticables à pied ou en calèche afin de circuler plus facilement. Cet hiver allait être le premier de l'enfant attendu. La mère, dans son lit de mère souffrante, attendait que son mari, le père de famille arrive avec le médecin familial pour examiner et aider la jeune maman à mettre au monde son bébé. C'est avec difficultés et souffrances que finalement, la fillette pointe le bout de son nez, pleurant toutes ses larmes tandis que la mère, fatiguée, était en train de sombrer dans les bras de Morphée. Geralt et son père se penchent alors sur l'enfant nouveau né qui pleurait, lové dans les bras de sa mère qui s'endormait paisiblement.

Les temps passa, la mère s'en remit, et la petite fut nommée "Syria" pour aucune raisons particulières, seulement, le nom leur plaisait beaucoup et c'est ainsi que le prénom de Syria lui fut donné. Geralt lui fut ravi d'avoir une petite sœur à protéger, elle se souvient l'avoir entendu dire "Je te protégerai toujours, Syria", ce qui lui tira un sourire enfantin et si doux. Très tôt, la fillette fut amenée en ville pour y découvrir les plaisirs qu'étaient de faire de la marche, aller voir l'océan, regarder les oiseaux voler, bref, les parents de la jeune fille voulaient lui faire découvrir la vie en douceur. Syria découvrait la vie et les animaux tout en s'amusant, elle voyait de ses prunelles le monde dans lequel elle était née : Vasterya. Un monde où parfois, malheureusement, les humains sont très mal représentés. Ses parents ont connu la guerre, ils savent très bien que certaines races éprouvent de la méfiante et du mépris vis à vis des humains, c'est ce pourquoi, Syria voudrait lutter : contre ceux qui pensent que les humains sont des êtres faibles et voués à mourir dès que les assauts sont donnés.

Geralt, son grand frère fit tout ce qu'il était en son pouvoir pour la protéger, elle fut très proche de son aîné et tous les deux étaient des inséparables, beaucoup pensent même que Syria aurait pu tomber amoureuse de lui, mais l'inceste aurait été très mal perçu par les autres familles et les hauts gradés. La famille Naeltigar n'a jamais été affiliée à une idée politique, mais ils font partis de la noblesse de Lonarosh et il n'aurait pas fallu déranger ou détruire l'image si majestueuse qu'ont les Naeltigar par un acte d'inceste entre les deux enfants de la famille.

Bien plus tard, une fois que Syria et Geralt avaient grandis, il leur a fallu choisir leur destin, l'aîné choisi alors de rejoindre l'Ecole des Aëriths tandis que Syria elle, préféra ne pas aller dans ce sens et prit alors la décision de faire un parcours de prêtresse. Elle qui allait très souvent à la Tour des Dieux pour y prier, la jeune fille s'en alla durant des mois, parcourant Vasterya à l'aide de sa jument Serenity pour y trouver la paix intérieure et pouvoir ressentir l'affluence des Dieux en elle. Plus tard, elle fit alors parti des prêtres de Lonarosh, elle fut alors nommée Prêtresse de Lunoa. Ainsi, elle se dévoua pour être l'intermédiaire entre la Déesse et les prieurs, bien que la Déesse ne soit jamais descendue voir ses croyants, Syria pense qu'un jour, elle pourra la rencontrer et lui demander des faveurs. Elle prie très souvent pour soigner ou garder en vie des animaux et des citoyens.

Avant toute chose, Syria reste une humaine et elle l'accepte avec les forces et les faiblesses des hommes par rapport aux êtres magiques qui peuplent Vasterya.

Son unique arme reste son bouquin dans lequel elle y répertorie autant ses sorts et invocations que ses aventures et découvertes en botanique, en magie etc. Elle veut écrire tout un livre entier sur ses capacités et ses découvertes. Mais elle peut très bien invoquer et utiliser la magie sans son livre de magie et d'invocations.

›› Invocations de familiers : Comme Syria est une invocatrice, elle peut faire appel à des familiers et créatures pour lui venir en aide. Evidemment, elle a ses limites et surtout, le fait qu'elle soit une humaine ne l'aide en rien. Selon la taille et la puissance de son invocation désirée, cela lui demandera du temps et de l'énergie. Vidée de son énergie, c'est presque la mort qui l'attend. Sinon, cela peut lui donner des maux de tête, des vertiges, des saignements, etc. Elle ne peut pas invoquer plus d'une créature à la fois.
Cela peut aller du simple chat au grand loup.

›› Brume voilée : Syria peut faire apparaître autour d'elle une brume pailletée et semblable à un voile qu'elle utilise pour disparaître en courant ou pour tromper l'ennemi. A trop l'utiliser, ça peut la fatiguer évidemment.

Connexion magique ›› Lorsque Syria invoque une créature, un lien magique se créer entre eux, ils peuvent communiquer par la pensée et lui commander ses faits et gestes, Syria est maître de son invocation même s'il est possible qu'elle se retourne contre elle. Mais à trop user de sa télépathie, cela affaiblit Syria au point de la fatiguer et de battre en retraite. Mais les ordres qu'elle donne à l'oral, et donc perceptibles de son invocation ne lui demande pas d'énergie.